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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2280134

ABSTRACT

Background: Severe COVID-19 survivors may exhibit functional impairment, radiological sequelae and persistent symptoms at short to mid-term follow-up. Aim(s): To determine the trajectories of respiratory recovery after severe COVID-19, and factors that could influence it. Method(s): Prospective, multicentre, longitudinal cohort study of adult patients hospitalized for severe COVID-19 (LOS >= 7d, oxygen flow >= 3L), evaluated at 3 months from hospital discharge with conditional follow-up at 6 and 12 months. Result(s): 486 participants from 13 French hospitals were included (median age 61y;female sex 27%): 173 needed oxygen only, 96 required non invasive ventilatory support and 217 were intubated. 454 (93%) patients were evaluated at 3 months, whereas 294 (60%) and 163 (34%) were followed up at 6 and 12 months, respectively. At 3- months assessment, a restrictive lung defect, an altered diffusion capacity and significant radiological abnormalities were observed in 33%, 71% and 57% of the cases, respectively. In case of extended follow-up, FVC (% pred.) increased by 4 points at M6 and by 7 points at M12, in mean;DLCO (% pred.) by 5 and 7 points, respectively. Age, sex, obesity, immunodepression, chronic cardiac or respiratory disease, initial extension of pneumonia and mechanical ventilation over 14 days were associated with lung function at 3 months but not with respiratory trajectories from this time point. Conclusion(s): A systematic follow-up seems justified after a severe COVID-19, especially in patients with extensive radiological lesions during acute illness. Pulmonary function and residual radiological abnormalities may improve up to 1-year after hospital discharge. Covid-19 A.

2.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):7-8, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182899

ABSTRACT

Introduction: Les survivants de formes severes a critiques de COVID-19 peuvent presenter des sequelles fonctionnelles et radiologiques et des symptomes persistants a distance de l'episode aigu justifiant un suivi prolonge. L'objectif de l'etude est de determiner les trajectoires de recuperation respiratoire apres un COVID-19 severe, et les facteurs qui pourraient l'influencer. Methodes: Etude de cohorte prospective, multicentrique, longitudinale de patients adultes hospitalises pour COVID-19 severe (duree d'hospitalisation >= 7 j, debit d'oxygene >= 3 L) ou critique (intubation), evalues (clinique, TDM, EFR, test de marche, questionnaires de symptomes et de qualite de vie) 3 mois apres leur sortie de l'hopital, avec un suivi ulterieur conditionnel a 6 et 12 mois. Resultats: Au total, 486 participants ont ete inclus dans 13 hopitaux francais (age median : 61 ans;sexe feminin : 27 %) : 173 avaient necessite de l'oxygene seul, 96 un support ventilatoire non invasif (CPAP, OHD ou VNI) et 217 avaient ete intubes. Au total, 454 patients (93 %) ont ete evalues a 3 mois, 294 (60 %) et 163 (34 %) ont ete suivis respectivement jusqu'a 6 et 12 mois. Une dyspnee d'effort, un syndrome restrictif, un trouble de la diffusion et des anomalies radiologiques significatives ont ete observees respectivement dans 62 %, 33 %, 71 % et 57 % des cas a M3. En cas de suivi prolonge, la DLCO (% theo.) et la CVF (% theo.) augmentaient en moyenne de +4 points a M6 et respectivement de +6 points et +7 points a M12. Le sexe, l'indice de masse corporelle, les maladies cardiovasculaires ou respiratoires chroniques, l'immunodepression, l'etendue de la pneumonie pendant la phase aigue de la maladie et la duree prolongee (> 14 j) de ventilation mecanique invasive etaient associes a la DLCO a M3, mais pas a sa trajectoire ulterieure. Parmi 476 patients (97,9 %) ayant eu au moins une TDM thoracique au cours du suivi, 196 (41 %) avaient des sequelles significatives sur leur derniere imagerie. Le sexe, l'etendue de la pneumonie a la phase aigue, la duree de la ventilation mecanique invasive et la DLCO a M3 etaient independamment associes au resume des composantes physiques du SF-36, tandis que seul l'age etait associe au resume des composantes mentales du SF-36. Conclusion(s): Bien que la fonction respiratoire s'ameliore et que les anomalies radiologiques residuelles regressent jusqu'a 1 an apres l'episode aigu, une proportion importante des survivants de formes severes ou critiques de COVID-19 ont des sequelles radiologiques et fonctionnelles importantes et des symptomes residuels pouvant affecter leur qualite de vie et justifiant un tel suivi. Copyright © 2022

3.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):6-7, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182898

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2022

4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):140-141, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586634

ABSTRACT

Introduction La Covid-19 peut être responsable de pneumopathies nécessitant une prise en charge en réanimation. De nombreuses techniques d’oxygénothérapie ont montré une amélioration dans la prise en charge des patients 1, permettant d’éviter le transfert dans un tel service. Ces études ne se sont intéressées qu’aux patients nécessitant des débits d’oxygène>6L/min. Notre objectif a été d’évaluer une prise en charge plus précoce par oxygénothérapie haut débit (OHD) en amont des services de réanimation. Méthodes Nous avons réalisé une analyse rétrospective de l’évolution des patients atteints de pneumopathie à Covid-19 hospitalisés dans 2 services de médecine du CHU de Bordeaux. Les patients hospitalisés en maladies infectieuses bénéficiaient d’une prise en charge par oxygénothérapie conventionnelle (OC). Ceux hospitalisés en pneumologie bénéficiaient d’une prise en charge par OHD en cas de nécessité d’une oxygénothérapie standard>2L/min. Résultats De novembre 2020 à janvier 2021, 22 patients hospitalisés en maladies infectieuses ont bénéficié d’OC>2L/min, et 33 patients hospitalisés par la pneumologie ont bénéficié d’OHD. Dans le groupe OC, l’âge médian était de 70 ans [63–84], et de 72 ans [56–84] dans le groupe OHD (p 0,757). Les patients étaient en surpoids (27kg/m2 dans les deux groupes, p 0,155), avec la même proportion d’hypertendus (50 % et 58 %, p 0,595). Ils étaient semblables sur le plan biologique à l’entrée, avec un rapport PaO2/FiO2 à 275 [231–307] dans le groupe OC et 262 [234–272] dans le groupe OHD (p 0,426). La CRP était à 108mg/l [82–165] dans le groupe OC et 92mg/L [46–162] dans le groupe OHD (p=0,308). Aucune différence n’a été constatée concernant l’évolution des patients en fonction du type d’oxygénothérapie. 5 patients (23 %) du groupe OC ont été transférés en réanimation, et 13 (39 %) dans le groupe OHD (p 0,249). La durée d’hospitalisation était similaire, avec un séjour de 10jours [6–13] en moyenne dans le groupe OC, et 10jours [9–21] dans le groupe OHD (p 0,077). Conclusion L’OHD n’améliore pas la survie des patients atteints de pneumopathie à Covid-19 par rapport à l’OC, en service de médecine traditionnelle, pour des patients nécessitant des débits de 2 à 6L/min. Ces données ne semblent pas en faveur d’une utilisation précoce d’OHD chez les patients peu sévères.

5.
Rev. Mal. Respir. ; 6(37): 505-510, 20200601.
Article in English, French | WHO COVID, ELSEVIER | ID: covidwho-1386577

ABSTRACT

The French-language Respiratory Medicine Society (SPLF) proposes a guide for the follow-up of patients who have presented with SARS-CoV-2 pneumonia. The proposals are based on known data from previous epidemics, on acute lesions observed in SARS-CoV-2 patients and on expert opinion. This guide proposes a follow-up based on three categories of patients: (1) patients managed outside hospital for possible or proven SARS-CoV-2 infection, referred by their physician for persistent dyspnoea; (2) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in a medical unit; (3) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in an intensive care unit. The subsequent follow-up will have to be adapted to the initial assessment. This guide emphasises the possibility of others causes of dyspnoea (cardiac, thromboembolic, hyperventilation syndrome…). These proposals may evolve over time as more knowledge becomes available.

6.
Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique ; 69:S5, 2021.
Article in English | ScienceDirect | ID: covidwho-1240579

ABSTRACT

Introduction Le calcul de la taille d’étude pour le développement d’un modèle de prédiction clinique utilise encore souvent la règle empirique proposée par Peduzzi en 1996 qui recommande l’inclusion de 10 événements à prédire par paramètre envisagé dans le modèle de prédiction. Une nouvelle approche a été proposée par Riley et al. en 2020 pour répondre aux enjeux majeurs du développement d’un modèle de prédiction : précision des estimations et contrôle de l’optimisme sur les performances de prédiction. Nous rapportons ici l’application de cette approche pour le développement d’un modèle de prédiction combinant des facteurs cliniques, biologiques et d’imagerie pour prédire la survenue d’une aggravation d’une forme légère de COVID-19 chez des patients ayant des résultats d’imagerie thoracique compatibles ou typiques de la COVID-19. Méthodes La stratégie de modélisation envisagée était un modèle de régression logistique avec une sélection a priori de facteurs identifiés dans la littérature. Comme dans la règle empirique, la nouvelle approche nécessite de préciser l’incidence de l’événement à prédire et le nombre de paramètres envisagés dans le modèle de prédiction. La taille d’étude déterminée par cette approche doit satisfaire quatre critères : précision souhaitée pour l’incidence de l’événement ;précision souhaitée pour les prédictions individuelles (sous la forme d’un pourcentage d’erreur absolu moyen) ;niveau maximal souhaité de sur-ajustement aux données (facteur de réduction minimal) et d’optimisme (surestimation maximale du R2 de Nagelkerke). Pour les deux derniers critères, le calcul requiert de préciser le R2 de Cox–Snell qui, en l’absence d’éléments probants dans la littérature, peut être déterminé en faisant une hypothèse sur le niveau de performance attendu du modèle de prédiction en termes de pourcentage de la variation totale observée dans les données expliqué par le modèle. Résultats L’incidence de l’évènement à prédire a été fixée à 20 % selon les données de la littérature. Une revue de la littérature sur les modèles de prédiction développés dans le contexte d’infection à COVID-19 nous a conduits à envisager 16 paramètres dans le modèle. Nous avons suivi les recommandations des auteurs pour définir la précision souhaitée pour l’incidence d’événement (±0,05), le pourcentage d’erreur absolu moyen (5 %), le facteur de réduction minimal (3 0,9) et la surestimation maximale du critère de performance (£ 0,05). Nous avons fait varier le pourcentage de la variation totale observée dans les données expliqué par le modèle entre 10 et 50 %. Pour satisfaire l’ensemble des critères, la taille d’étude requise variait entre 587 et 2205 patients. Nous avons retenu l’hypothèse d’un pourcentage de variance expliqué de 25 % conduisant à l’inclusion de 829 patients pour le développement du modèle. Conclusion La nouvelle approche de calcul de taille d’étude permet de considérer dès la conception, des éléments majeurs qui favorisent le développement d’un modèle de prédiction clinique de qualité, en particulier la précision des probabilités individuelles de survenue de l’événement et le contrôle de l’optimisme. En contrepartie, elle nécessite une expertise statistique plus poussée que pour la règle empirique. Néanmoins, son application est possible même dans un délai court et devrait donc être systématiquement envisagée dans les études de développement d’un modèle de prédiction clinique.

8.
Rev Mal Respir ; 2020.
Article | WHO COVID | ID: covidwho-274082

ABSTRACT

The French-language Respiratory Medicine Society proposes a guide for the follow-up of patients who have presented with SARS-CoV-2 pneumonia. The proposals are based on known data from previous epidemics, on acute lesions observed in SARS-CoV-2 patients and on expert opinion. This guide proposes a follow-up based on three categories of patients: 1) patients managed outside hospital for possible or proven SARS-CoV-2 infection, referred by their physician for persistent dyspnoea;2) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in a medical unit;3) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in an intensive care unit. The subsequent follow-up will have to be adapted to the initial assessment. This guide emphasises the possibility of others causes of dyspnoea (cardiac, thromboembolic, hyperventilation syndrome..). These proposals may evolve over time as more knowledge becomes available.

9.
Revue des Maladies Respiratoires ; 2020.
Article | WHO COVID | ID: covidwho-260298

ABSTRACT

Résumé La Société de Pneumologie de Langue Française propose un guide pour le suivi respiratoire des patients ayant présenté une pneumonie à SARS-CoV-2 à partir des données connues des précédentes épidémies, des lésions aiguës constatées chez ces patients et d’opinions d’experts. Ce guide propose une conduite à tenir selon le type de patients : 1) patient pris en charge en ville pour une infection à SARS-CoV-2 possible ou prouvée adressé par son médecin traitant pour dyspnée persistante, 2) patient hospitalisé pour pneumonie à SARS-CoV-2 en unité conventionnelle, 3) patient hospitalisé pour pneumonie à SARS-CoV-2 ayant fait un séjour en réanimation. Le suivi ultérieur sera à adapter au bilan initial. Ce guide insiste sur le fait qu’il ne faut pas méconnaitre les autres causes de dyspnée (cardiaques, thromboemboliques, syndrome d’hyperventilation, …). Ces propositions pourront évoluer dans le temps au fil des connaissances sur le sujet. The French-language Respiratory Medicine Society proposes a guide for the follow-up of patients who have presented with SARS-CoV-2 pneumonia. The proposals are based on known data from previous epidemics, on acute lesions observed in SARS-CoV-2 patients and on expert opinion. This guide proposes a follow-up based on three categories of patients: 1) patients managed outside hospital for possible or proven SARS-CoV-2 infection, referred by their physician for persistent dyspnoea;2) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in a medical unit;3) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in an intensive care unit. The subsequent follow-up will have to be adapted to the initial assessment. This guide emphasises the possibility of others causes of dyspnoea (cardiac, thromboembolic, hyperventilation syndrome..). These proposals may evolve over time as more knowledge becomes available.

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